Pourquoi on veut faire partie de la famille franciscaine ?

  • Comme la Fraternité de la Beauté de Job s’est créée suite à un voyage à Rome, où nous avons eu la chance et le privilège de rencontrer notre Pape François ;
  • Comme il souhaite une Église Pauvre pour les pauvres à partir du plus pauvre,
  • Comme il a lui-même choisi le nom de François pour ce qu’il représente,
  • Comme nous ressemblons un peu à Job, et un peu à Saint François d’Assise, …

… la Fraternité de la Beauté de Job a choisi de rejoindre la grande famille laïque franciscaine… et nous sommes en chemin avec le Frère Joseph.

Martial Aberlen


Giovanni di Pietro Bernardone est né en 1181 a Assise, et mort le 3 octobre 1226, plus connu sous le nom de Saint François d’Assise.

Fils d’une riche famille marchande, en Ombrie, il est l’aîné des sept enfants de Pietro Bernardone dei Moriconi, très riche drapier d’Assise et de Dona Joanna Pica de Bourlémont, femme pieuse issue de la noblesse provençale.

À sa naissance, alors que son père est en France pour négocier draps et étoffes dans les foires de Provence et de Champagne, sa mère le fait baptiser sous le nom de Giovanni (Jean en l’honneur de l’apôtre homonyme) dans la cathédrale d’Assise consacrée à Rufin, saint patron de la ville. De retour de son voyage en France où il a fait de très bonnes affaires et en hommage à ce pays, son père lui donne le nom de Francesco (François = français), qu’il gardera et par lequel il sera mondialement connu.

Francesco vit alors une jeunesse dissipée marquée par les aspirations de son époque. Il commet peut-être à cette époque le péché de chair comme le suggère son Testament.

Il fait la guerre à la noblesse d’Assise et de Pérouse. La défaite en novembre 1202 sera pour lui suivie d’une année d’emprisonnement. Malade durant sa captivité, il est libéré à prix d’argent grâce à son père et doit, après son retour à Assise, calmer ses ardeurs.

Sa conversion, réalisée en plusieurs temps, s’est faite au cours d’une longue maladie qui l’immobilise une grande partie de l’année 1204. Alors qu’il rêve toujours d’acquérir le rang de noblesse par de hauts faits d’armes et d’être adoubé chevalier , il s’apprête à rejoindre l’armée mais un songe fait à Spolète le pousse à abandonner tout espoir d’accomplir ce projet. De retour à Assise, il abandonne peu à peu son style de vie et c’est alors que Francesco entend une voix lui demandant de « réparer son Église en ruine ». Prenant l’ordre au pied de la lettre, il se rend à la ville voisine de Foligno y vendre des marchandises du commerce de son père pour pouvoir restaurer la vieille chapelle délabrée. Il dépense également beaucoup d’argent en aumônes de ses compagnons de fête et fréquente de plus en plus souvent les chapelles.

Furieux des excentricités de son fils, Pietro Bernardone exige qu’il lui rende des comptes et ne craint pas de l’assigner en justice pour le déshériter. À l’issue de ce procès au tribunal de l’évêque d’Assise, Francesco rompt la relation avec son père en lui laissant, symboliquement, ses habits. Francesco, se réclamant d’un statut de pénitent qui le fait échapper à la justice laïque, sera alors convoqué par l’évêque d’Assise. Lors de son audition sur la place d’Assise, au printemps 1206, François rend alors l’argent qu’il lui reste, ainsi que ses vêtements et se retrouvant nu, il dit à son père et à la foule rassemblée : « Jusqu’ici je t’ai appelé père sur la terre ; désormais je peux dire : Notre Père qui êtes aux cieux, puisque c’est à Lui que j’ai confié mon trésor et donné ma foi »

Depuis il choisit de vivre dans la pauvreté et créa la communauté des Frères Franciscains.

Wikipédia

Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *